• Denpa Onna to Seishun Otoko

    « Tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans soupçonner que le vrai bonheur est dans la manière de gravir la pente. » 

    Studio : SHAFT

    • Langue : Vostfr

    • Thèmes : Amour // Amitié // Comédie // Fantastique

    Genre : Seinen

    Épisodes : 12 + 1 OAV

    Durée par épisode : 25 min

    Année : 2011
    SynopsisL’histoire tourne autour d’un lycéen ordinaire nommé Makoto Niwa, qui va partir vivre chez sa tante. Une rumeur dit que cette ville se trouve être sous la surveillance des extraterrestres. Il va y rencontrer sa cousine, une mystérieuse fille nommée Erio Tōwa. Cette étrange cousine, qui porte constamment un futon autour du corps et ne se nourrit pratiquement que de pizzas lui avoue alors qu’elle est elle-même une extraterrestre.


    Avis : Le chara-design de cet anime est vraiment très mignon, surtout au niveau d’Erio. Le scénario est original globalement mais je pense qu’il a mal été utilisé. Il a notamment le stéréotype du triangle amoureux mais ce n’est pas encore trop abusé. Nous avons peu de réponses à nos questions mais j’ai tout de même bien aimé.

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  • Voilà alors je voudrais "tester" ton imagination. Voici une image, toute simple. Il te suffit de me dire ce que tu vois. Ce n'est pas compliqué n'est-ce pas ? Alors vas-y.

    Rouge-Chan : Je vois une image noir, rien d'autre.

    Lottie-sharonCette image, est comme si j’étais dans une pièce sombre.. sombre et inquiète.. j’imagine alors tout ce qui peut me passer dans la tête (et rien de joyeux malheureusement), ses fantômes cherchant a troubler mon âme.. un homme sombre a coter du porte manteau, m espionnant, je sens une présence et frissonne.. J’ai peur que ce soit un cambrioleur qui s’y je le voit se transformera surement un tueur dans ma tête, il me suit alors à chacun de mes pas .... Je passe rapidement dans la salle de bain et me pose une barrière de protection : la porte. Je reprends mon souffle , regardant tout autour de moi si il n’est pas rentrer avec moi alors je me sens en sécurité pour un moment ensuite , je refait le même parcours mais en sens inverse comme une course interminable , en montant l’escalier , en comptant la peur , je ne dois pas me précipiter , car je dois faire le moins de bruit possible tout le monde dors déjà ...tout est alors contre moi ..sur la pointe des pieds je les monte alors mais les jambes crisper ... une fois arriver en haut, je pose une autre barrière la petite porte du haut de l’escalier (porte de sécurité pour enfants) .. une fois arriver dans ma chambre, j’allume ma petite lampe de chevet, dépose rapidement mes lunette et éteins la lumière (encore une fois pour les dormeur).. Je m’allonge enfin, c’est la paix.

    psycho-baka ♔Je vois un récapitulatif du monde.

    Naru✝ : Je vois du noir, mais ce noir ne veut pas dire la couleur mais plutôt les ténèbres éternelles. Ce noir désigne la souffrance de notre monde, ce que va devenir notre monde. Quand on se concentre sur l'image et qu'on imagine notre monde, on n’entend pas des rires, mais plutôt des cris de douleur et de tristesse. On voit des maisons effondrées, des gens qui pleurent devant des personnes mortes, des gens qui cris de tout leur âme,… Ce noir désigne donc la fin du monde.

    Camy~ : Je vois une image noir qui désigne la lumière d'une pièce éteinte.

    Mao✝ : Je vois la couleur de notre âme.

    Lilla ♥ : J'ai peur.  Je ne vois rien ! On m'a mis un bandeau sur les yeux! A l'aide! *Agite les mains* Je suis où?! Et pourquoi mon pied rencontre le vide ? Je vais tomber ! Ah ! Oh je perds l'équilibre ! Je suis perdue ! Maman ! Ouiiinnnn ! AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!

    Nevender : Je vois dans cette image noire, les yeux aveugles des gens. Les gens qui se réfugient dans l'illusion que le monde est sain, qu'il est plein de bonheur. Alors que le monde est fou et malade. Les gens se cachent derrière des stéréotypes et font souffrir qui voient la maladie, la mort, qui sont différents, trop différents. Cela désigne aussi la peur, car à mes yeux, lorsque l'on se retrouve dans le noir, on panique, on pleure. On redevient un enfant qui a besoin de ses parents. Mais surtout, cette image représente pour moi... la solitude. L'inexistence. Car lorsque l'on est seul, que son existence prend un sens que lorsque l'on aide les autres. Ou bien de les faire souffrir. On a l'impression que la vie prend un sens. Que notre vie irréelle prend enfin un sens distinct et que l'on peut enfin marcher vers un objectif. Même si notre vie inexistante reprend lorsque l'on perd la vie face aux autres. Je ne parle pas de la Mort, mais de la Solitude, de la Peur, de la Folie et du Malheur. Je parle en tout de l'Inexistence, des Illusions qui nous rendent aveugle. Ainsi, nous devons donc fermer les yeux dans ce noir dominant pour y voir enfin une quelconque lumière. Le Noir n'est pas forcément la couleur du Désespoir, c'est juste une couleur qui cache la vue, ce sont justes des Ténèbres qui cachent la Lumière. En fait, chacun de nous avons cette image noire cachée dans un coin reculée de notre âme, de notre cœur. On est tous aveugles, sombres sans vraiment d'existence propre.

    Dream-Amelia : Je voix dans cette image, la mort, l'enfers et la tristesse.

    cielnoir : J'attend de voir un crâne apparaître.

    Mad hatter : Perso... J'ai vus un bug d'ordinateur dès que je suis tombé sur cette page. J'ai tout de suite pensé à une colonie de fourmis noir qui seraient venu s'installer sur mon écran d'ordinateur.

    Hilarry : Ca représente ma tête, et vu qu'elle est vide il n'y a rien.

    Saviour : Ca m'évoque un grain de pastèque. Parce que les grains de pastèques sont noirs.

    Lulu1411 : La première chose à laquelle j'ai pensé en voyant cette image est la nuit. Un ciel noir sans étoiles, et j'ai trouvé ça étrangement apaisant.

    Lady_America : Je pense que cette image représente le bandeau qui empêche l'Homme de voir la réalité des choses.

    Nyuthecat : Je voit un fond étoilée, mais sans étoile.

    LaConteuse : Je vois un carré noir.

    Angel Caramel : Cette image représente pour moi, la mélancolie et les ténèbres.

    Kaiyu : Quand je regarde cette image je vois mon reflet dedans, mais dans le noir, comme si j''en était prisonnière, prisonnière d'un monde fait de noir, de tristesse, bref.. de notre monde à nous.. La terre n'est qu'une boule noir fait de misère..


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  •    L'un de mes professeurs particuliers quitta la pièce, furieux comme à son habitude, me laissant seule dans cet immense manoir qui, hélas, n'était autre que ma demeure. Je regardai par la fenêtre. Le soleil avait disparu, laissant place à un épais brouillard. Le ciel était avec moi, c'était le temps idéal.

     

       Cela faisait huit mois qu'avec des connaissances nous avions pris une grande décision, le genre de décision qui vous suit toute votre vie. Nous allions tout quitter pour recommencer une nouvelle vie, une vie avec un vrai but cette fois-ci... Mais en réalité, cela faisait bien plus longtemps que l'idée de quitter cet endroit me tourmentait. Je ne me suis jamais senti à ma place ici. Un énorme lieu sans sentiment, où seul l'honneur d'une entreprise familiale compte. Pour tout dire j'étais la honte de la famille. Mes frères participaient déjà activement dans la vie de l'entreprise, lui donnant une belle image. Mes soeurs quant à elles, la représentaient avec grâce, mettant en avant leur beauté. Cela avait d'ailleurs réjouis mes parents, un important chef d'entreprise était tombé sous le charme de la plus âgée d'entre elles, le mariage ne se fit pas attendre, dès lors son "bijou" fusionna avec la notre. Quelle fille honorable ! La plus jeune, quant à elle, est mignonne à croquer, elle attire bien des partenaires, mais pour la lier au meilleur parti, il faut attendre qu'elle ait quelques années supplémentaires, 10 ans c'est trop jeune de nos jours... Tout de même, quelle fille adorable ! Mais moi, du haut de mes 17 ans, je ne comptais pas entrer dans le jeu de tous ces marionnettistes. Disons que j'avais toujours fait en sorte de paraître repoussante. Dans ce milieu où les femmes aux longs cheveux attiraient les plus riches, je coupais les miens moi-même tous les jours et ne les coiffais jamais. De plus je ne me séparais jamais de mes grosses lunettes opaques qui cachaient complètement mes yeux rouges... Aux grandes soirées dans lesquelles chacun s'habillait de sa plus luxueuse tenue, où les femmes voulaient resplendir dans leur grande robe, je restais en pantalon et pull que je prenais le plus grand soin de déchiqueter et salir. A force, ma famille, ne trouvant aucun moyen de faire de moi leur pantin, avait fini par me retirer de la vie politique de l'entreprise. J'étais enfermée, méprisée, étant celle qui apportait la honte, le déshonneur.

     

       Gabriel m'avait donc donné l'occasion rêvée de partir de cette endroit. Le plan était simple, je disparaissais définitivement à 19 heure tapante. Autrement dit, dans un quart d'heure. Tant d'années à supporter une telle vie pour la quitter si facilement, s'en était presque désespérant. Je sortis de la salle et rejoignis ma chambre deux étages au dessus. Je pris ma saccoche qui était au fond de mon armoire. Elle contenait mon ordinateur portable, évidemment, personne n'était au courant que je l'avais. Je me chaussai d'une simple paire de basket et j'enfilai une veste noire, inconnues toutes deux de mes goeliers. Je mis un peu d'argent dans ma poche, j'avais pris soin de le conserver secrètement depuis huit mois. J'étais enfin prête.

     

         Descendant les escaliers deux par deux, je fis en sorte de ne croiser aucune servante. Je quittai le manoir par la porte de derrière, celle du personnel. Là, je dus m'allonger derrière un buisson, pour éviter le jardinier qui contemplai son travail. Je rampai sur quelques mètres puis courus sans crainte d'être vu, protégée par l'épais brouillard. Il était 19h00, plus jamais on ne me verrait dans cette région. Après quelques minutes de courses rapides, je m'arrêtai. Reprenant mon souffle, je fis un trou dans la terre et y mis ma grosse paire de lunettes. J'enterrai tout mon passé par la même occasion. Quelle ironie, cette fuite était si simple. Contrairement aux deux autres, je n'avais pas besoin de simuler ma mort, je n'existais pas à leurs yeux... Je ne pus m'empêcher de rire; un rire qui traduisait tout ce que je ressentais.

     

         Deux jours plus tard, j'étais à la gare, à l'heure convenue. Tout allait commencer.

     

    Nouvellement Jade M.

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    Texte écrit par Toshigome


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  • Se suicider ? Mais ça fait vachement mal de se suicider ! En plus, il va y avoir de la cervelle partout sur le trottoir ! Pense un peu à ceux qui vont ramasser les morceaux !

    < Great Teacher Onizuka >

    (Trouvé grâce à Queen Onaeween)


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  • "Quand je vous donne mon temps, je vous donne une partie de ma vie que je ne récupérais jamais. Donc ne le gaspillait pas."

    Il y a déjà un moment, je me suis inscrite au RPG de ce cher Mad hatter. J’aime beaucoup le concept, et au moins on peut vraiment jouer. (On ne risque pas de rencontrer des joueurs qui se croient immortels comme à leurs habitudes.) C'est vraiment pas mal. Je n'ai pas beaucoup joué pour le moment alors je ne vais pas dire que c'est génialissime mais je sais que ça un bel avenir. Bref, si tu cherches un passe-temps sur ekla, tu peux aller jouer chez Maddy. (Pour le moment, le RPG est « fermé » donc tu attendras.) En parlant de RPG, j’avais lu une fois un assez bon article sur ce sujet. Donc bref, j’ai fouillé dans mes blogs préférés pour le retrouver, et je l’ai retrouvé. Merci de le lire, ça t'ouvriras surement les yeux sur certains points. Bon c'est fermer alors tu attendras aussi. (http://latrolleuse.lo.gs/rpg-c24621724)

    Aujourd’hui c’est le printemps (Ou demain on s’en fou). Chez moi, il a fait un grand soleil avec une petite brise.  C’était assez agréable. J’aurais pu me coucher dans l’herbe et profiter de l’air frais, mais il y avait un léger problème. J’avais école. u.u C’est horrible d’avoir cours pendant qu’il fait si bon dehors. Les cours étaient longs… On aurait dit qu’ils rallongeaient. Bon j’exagère peut-être un peu mais à mes yeux c’était long. On a beau avoir commencé le printemps, je me demande si le monde a commencé lui aussi. As-tu vu des arbres bourgeonner ? Des fleurs fleurirent ? Des oiseaux revenir ? Moi perso, rien. Je n’ai rien vu comme signe du printemps. Je me demande quand le monde aura décidé d’être le printemps.


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